poematique expiraTOIre
n'oubliez pas de traverser de temps à autre mes CORRIDORS.. avec un nouveau lien celui des Ed. de l'Atlantique
Lire la suiteune nappe de bistrot . papier blanc et tout dessus, des gouttes de sang et la pluie de la vie sans histoire. je déchire. bribes semblables aux années et ma fine écriture comme un doigt qui glisse sur le mur. j'étale l'encre du jour sur ces conversations...
Lire la suitej'aimerais écrire un poème d'amour les mains vides. un trou plus grand parmi les autres, comme un lieu de perdition, une chute. une bulle cueillie dans un ciel de savon, éclatée mouillée dans les paumes. un souffle titubant, un paramètre instable qui...
Lire la suiteces gris qui virent... le piano roux qui va habiter mes doigts, mes caresses usagées mes soldes érotiques. ma production de cris façon hanches et trop tard, tombés en mensuetude sur les touches d'un clavier. je vais en faire des bandaisons, de la levée...
Lire la suiteje vais dans tes pages, là où ma terre met ses crochets de vivre, de la racine ou de la source. j'y nage à fond la poussière, la tenture de gypse, les plâtres dépenaillés. ce sont mes veines, mes espoirs de fuite. l'écrit presque trait pour trait de ma...
Lire la suiteJe ne sais si cela peut ou non. s’arrêter ou se poursuivre. entre. un côté et puis l’autre. C’est le devant ou le dos de la scène. le fil précis tranché, cour ou jardin. Il y a bien un nom pour dire cet instant, non? …Je ne suis pas plus vive que tu n'es...
Lire la suiteà l'épuisette, pêcher des algues ou du fretin, des bulles remontées de ton sommeil de tanche. comme du verre qui craque sous la danse. la nuit. dans chaque pore de l'eau tes syllabes se démontent, hachis de mots. éclats muets à la surface de ma langue....
Lire la suiteun instant poème un trou dans les cadenas du temps pupille enchâssée dans l'éponge de buées le ciel se couche un instant de cigare un rouge feu de puits la braise d'horizon à l'odeur bleue à cueillir entre ma bouche avant que de dormir je me contente...
Lire la suiteje tends mon embuscade. un filet de camouflage jeté sur moi en guise de tenue d'oiseau. - on aime tant les oiseaux ou alors est-ce juste l'air qui les porte et nous laisse tomber- . mon guet-apens de désir. quelques suées de parfum ou ce collier de mots...
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