poematique expiraTOIre
j'écris affectif. j'ai toujours la gueule ouverte. comme ces chiards interpellant sans fin la louve. survivre de lait, qu'importe lequel. c'est la tripe qui rage et pas le cerveau. c'est certain. une sorte d'enfance mal châtrée et qui tête de l'amour...
Lire la suiteAtelier d’écriture du 24 janvier /P. MEUNIER _MEIPLAT Pourquoi pas ? Je vais à ce rendez-vous avec moi-même. Je me retrouverai enfin dans la lumière de mon être, à l’orée de mon âme qui se dévergonde bien plus que de raison. Il faut vivre. Je coupe les...
Lire la suitedevoir de nuit. je rentre comme le chat, du froid aux pattes, en remontant mes goulets, mes escapades par derrière. avec ces constats aigres de la lâcheté humaine, ces miasmes que laissent les fuyards, les ravageurs de parole, le grand large cousu dans...
Lire la suiteNos alarmes d'oiseaux ne tiennent pas devant la ferveur : tous les jours nous demandons à cette lumière de définir ce que n'est pas la lumière (mais impossible de céder) tous les matins nous demandons à cette lumière ce qui n'est pas de son ordre (mais...
Lire la suiteconcerto violoncelle. je cours après chaque note je tente de rattraper l'évanescence, le ciel mité des partitions. tire d'ailes transparentes, envols et poussières. chaque frottement déplie le ciel. c'est le bonheur qui prend forme inhumaine, comme si...
Lire la suitenourrir le sauvage l'incontrôlé goûter dans le lit mauve hors d'oeuvre de malt et d'ailes grises l'ivresse légère du dormir dépiauter le pesant du rêve couché en travers du ventre avec des pattes et des doigts mécaniques fusion des sables allant vers...
Lire la suitebutée de fin de rails. le mur draisine stop. t'avances plus cocotte! t'essaies en prenant du recul, tu fonces dans le tas, tu t' "éclaffes" contre les briques. boursouflures aux arcades sourcilières, nez cassé. tu recules, tu recommences, pas d'accord...
Lire la suitela poésie, avec ses mots, comme des paillettes, des écailles - j'aime tant l'écaille, pour son admirable reflet, sa transparence en lumières, son art de l'aviron à même la peau- ne rapproche peut-être pas. elle me projette sur un faisceau bien loin et...
Lire la suitesur une musique de clint mansell voix annaj je coupe les cheveux de mon âme, les anges ne sont plus d'accord pour mes boucles et mes noeuds coulants. je le fais à la grosse cisaille. ils sont durs comme des roseaux qui s'inventeraient un étang. il faut...
Lire la suiteIl dit que je ne dis rien. Que les mots sont des mots et qu’ils ne m’appartiennent pas. C’est le hasard qui les fait sortir de ma bouche, la parole est bien au-delà des corps. Ça vient de derrière l’univers presque. peut-être a-t-il raison… ? Il y a une...
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