poematique expiraTOIre
pouvoir pur, je cède, à mes doigts quelques serres sans importance. vouloir m'accrocher à des roues qui tournent est une fête sans forain je baisse la garde et ma tête au creux d'un coude, je laisse ces inséminations d'art me remplir. je n'ai rien d'autre qu'à y prendre des administrations mystèrieuses et la paix qui monte comme de l'eau dans les soies et les nuits