poematique expiraTOIre
tordre l'esbroufe, petit cul maillé de crâneries. quand ça tangue du bas on garde la tête haute. équilibrer la danse et les dépliés du vent. faut tenir l'honneur à la mentonnière, minimum requis. et je défile à la bourrasque comme un pilotis sous la mer...
Lire la suiteles membranes célestes enfantent le chant de l'averse ralenti épidermique d'un jus d'anges. humains sentez vos chairs battre tambour et mettez vos yeux au diapason humide la guimbarde de l'univers envoûte vos squelettes brindilles et vos vibrations lentes...
Lire la suitecinq sens ce n'est pas assez d'inventions chez les dieux pour te prendre je n'ai levé aucun corps volant aucun cerf le ventre- brâme n'est pas la porte vierge d'une nuit d'arbres et ce crin de voix ne chute pas dans mes labyrinthes et ce goût de peau...
Lire la suitedessine-moi un oiseau, j'en ai assez des moutons même gris, même brisé de ciment. découpe un battement volatil, cette humeur , même goudronnée, qu'on dirait transpirée des sépulcres. mets-moi ce vol à la page, tout charcuté de doigts de bagues de précieux...
Lire la suiteje ne sais plus être tendre. c'est trop dur pour moi. ... ces lâchetés, ces faux semblants ces confrontations déportées pourquoi avoir du courage quand personne n'en a.. ce sont des regards comme le mien que l'art tire du sens ce sont des mots qu'il fait...
Lire la suitemarrant je m'avise que sur ce dessin spontané on dirait Malta et son porte voix en rotin ,-)) je vais promener désormais ma poésie comme une maladie orpheline ganglions de flammes et naevus je romps la veine photophore des enclaves éditoriales je sais...
Lire la suitequels est la taille de la haie et des Escargots ????? ...c'est une question parmi tant d'autres pourquoi cette pluie ? cette sècheresse ? avec cette mousse de bientôt un mètre de haut... alors que les escargots carnivores ............eux mangent déjà...
Lire la suiteje m'habille de la peau des choses rentrée dedans les limbes le paradis disséminé des petites vies perdues fond de chemise au frac il y a toujours un oiseau pour chanter cette gravité suraiguë à fleur d'objet l'innocence métronomée qui crisse sur les...
Lire la suitemon oeil mesure l'espace formes et difformes cornes sur blessures cals de patience les heures étourdies sur mon petit monticule je jette dans cette piscine du pain des couleurs des mots pour faire ventre aux poissons et aux signes parfois comme un oeil...
Lire la suitemille échelons vers la lune et le monde dans la cage d'escaliers la tête grimpe on se monte le cou jusqu'à des guillotines révolutionnaires orange de la nuit mûrie sur un lé d'éventail son jus coule dans la gorge on boit des éclipses escamotage d'un coup...
Lire la suite