poematique expiraTOIre
je dresse la nuit debout sur le tambour des arènes de cirque.
révolution les pattes en l'air et feulement contre reins
rayée zèbrée tigrée la nuit
fourrure à puces et cette envie d'y tordre les mains et tout rebrousser
les plâtres prennent lentement sur le cintre des aurores
je mets la cagoule du jour
à poil de solitude
et ce fouet pleine gueule
de retour à la niche