un arbre a poussé dans ma tasse branches torsées vers un ciel de soucoupe matin mieux n'être personne mais quelques envols d'ombre l'éphémère l'onde n'avoir ni sang ni vie simple dissémination
perdre ses yeux sur le chemin de Poucet exploser ses confettis charnus
mieux n'être personne cet être acceptable songe flou d'un pas dans une poudre blanche ce corps sur la patère du jour vêtement de parfum pour dernière présence et fluctuer parole sans air.