poematique expiraTOIre
Même personne pour personne
Je suis un amour sur la Terre
Un noyau d’amour
inutileà aimer peut-être
Mais vrai démiurge de vents
Pour craquer les forêts
Je fissure des écorces des carapaces de nuit
Pour courser les tempêtes
Je ne serai pas arbre pas racines dans un cœur de glèbe
Mais ce rien que je suis
Est un œil de typhon cinglant du souffle et des caresses