poematique expiraTOIre
avec un pseudo pareil, y en a toujours pour me faire un dossard de salope. pisseuse d'hommes pleine rivières. je fais les défilés, les pluriels de cuisses. ouvertes fermées ouvertes fermées paroles de drapeaux sur des cargos sans amour-
c'est comme un cachet sur mes impudeurs, le sceau encreur qui tonsurerait mon front. je fais dans la poésie sans étages, les primo-infections du désir démâté. on me saute et je dis encore on passe on dépasse..rien n'attache. j'entends ce petit ricanement intérieur aussi secret pense-t-il être aussi imprononçable qu'il est, ce doigt qu'on me donne à mordre au delà de ma cage. la bête .. avec sur leur langue cette bave fièvreuse et sale et les miasmes des jugements premiers. anna jouy.. "ben dis, elle, c'en est une qui marque son territoire... incarnation de la putasserie du temps je suppose...."
mais dois-je me taire, lilith ? et puis ces êtres qui m'entourent sans aucun besoin ni de me parler, ni d'écrire font naitre en moi des certitudes de mort imminente. fausses pistes et faux sens. tout est pseudo.;-))