poematique expiraTOIre
peut-être des organdis suffiront-ils à mes épousailles de deuil
des voilettes satin à même la peau
pour des cartes funèbres
le grand carnet de bal ne désemplit pas des valses du vent
et les pommiers encensent les ténèbres
par poignées de roses
je ne fanerai pas les regrets et leurs têtes moroses
j'ai mieux à trier de mes ongles et des papilles de mes doigts
un butin de perles et de boutons
et le sens des mots