poematique expiraTOIre
Passage obligé
une courbe d’os entre deux yeux pendus
je respire
Le temps fume
Il a un air de bleusaille entre deux guerres
Et puis cette lèvre très charnue
forant le puits du monde la mise en bouche
un visage tant et plus
l'imperceptible porte cochère genou fléchi sur ses paradis de réverbère
regard des trottoirs
sans nom