le mal d'estampe quand le soir perd son carnet de bal qu'il faut jeter ses pas sur des patères jaunes bavant des ronds de jambe à des fils électriques le salon est clos comme un parc sans chevaux le sceau d'un rêve toute encre au tampon taguant mon front éteint et le coup des aiguilles sur le rappel des douleurs
le violon se la joue en c dur et moi je triangule en b mol je redresse le cou il y a assez de cintres la défroque lamentable d'une danse sans plis