poematique expiraTOIre
m'en sortir toujours avec des pirouettes, des bras en hélice, des danses de la pluie. fuir dans un morne brouillard tout ce qu'il y aurait à dire et que j' aimerais n'avoir jamais même pensé. m'administrer le silence à la cuillère à poison, une pour papa une pour maman,- allez ouvre la bouche petite que je claque tes lèvres une fois pour toujours.
scories de jours balayées d'un revers de godasse, pastels et fusion sous le tissu gris de la manche. tout doit disparaître.
bien avant que je ne doive rendre les images, combien de poèmes et de paroles revenues à la poste restante. poésie à cultiver le vent et le désert. fléchée bien avant.