poematique expiraTOIre
vacances. grande désertion générale. le monde lève le pied et se conduit vers ailleurs. j'envisage de déserter mon monde. pareil. partir en emportant mon âme dans un sac à main.
chronique furioso ma non troppo en cours dans la grisaille des années bisextiles. les saisons ne savent que faire de ce jour en rab et cafouillent à tous les étages. on se le refile et ça balance partout entre. pas encore eu chaud, pas encore eu soif pas encore eu l'éventail en mains.
20 juillet et ce petit goût d'un automne avancé.je tire le temps par les cheveux avec un mal de cailloux.
il faut partir puisque c'est écrit.