poematique expiraTOIre
j'en vois qui suturent avec des frénésies paralytiques
les centimes du vent
j'égoutte moi aussi des semis de guimauve
le préposé à la diane vide les ablutions blanches
trier mes bobines, mon fil et mes attachements
remailler la disgrâce
chapelet d'interstices
je compte les noeuds
ce haillon d'être est une si humiliante épreuve
je n'entrerai pas, promis
je n'en sortirai jamais c'est acquis
reste
à satelliser mon petit cul à la régie des scènes gymnastes