poematique expiraTOIre
à l'empan de nos pensées
la tienne, la mienne à l'écartée des horizons du monde
aucune croisée
aucun porche miscible.
tu campes sur la roche morne du temps
je secoue les fourmis rouges des patiences.
l'entrelacs ne saurait prendre noeud et coulisses.
ne dit-on des grâces agenouillées quand on lève encore l'amour aux agrès alors qu'il n'est plus de la bonne ordonnance?
tu jettes le sel aride par-dessus mon épaule pour t'assurer de ma perte
ça y est
je t'assure