poematique expiraTOIre
enfant l'accroupi le recul du fusil et ce mal à l'épaule quand la lutte avec l'ange va de travers loin derrière, fulgurant asphyxié des poudres et du meurtre qu'il propulse mourir va si vite une respiration de trop et ça y est enfant l'insoumis aucune...
Lire la suiteimage sur théâtre.chelles.fr folie est danse épileptiques javelots de la transe folie tient haut le pied le bras et les écarts jambes qui claquent avant chaque nouvelle prise folie de la pointe, je danse sur la langue et toi ton sexe que l'axe de la Terre...
Lire la suiteles couvertures parlent un jargon d'anges au labeur ils relisent en choeur les modes, les couleurs et les chants des oiseaux ça fait des pierres au nid, des concrétions de bois doux enlacés de poussières pour y déposer des oeufs fragiles d'amour sans...
Lire la suiteje n'y songe pas je suis libre depuis les autres rives libre comme la chair touchée par la chair soudain grâces et accédant à l'air je n'y songe pas le vol sans ocelles et des véroles crépissant l'oxygène ciel noir, réglisse des différences ma main dans...
Lire la suitece léger frôlement de vice et de vertu de conserve avec tes balancements désormais rideau au tomber de vracs et de stèles définitives dessous les morts, toutes tes morts tu ne prêtes ton flanc qu'à des voyages sans retour avec les ballots du passé dont...
Lire la suiteL'intérieur de moi est comme drapeaux de prière, fines bandes blanches accrochées à un jonc, sortes de tresse de libellules fragiles et transparentes soumises incessamment au message du vent. Je n'envoie rien vers les dieux, mais dans ces filets flottants...
Lire la suitedu doigt déminer les maléfices il suit les courbes de la Terre précis de manège et mode d'emploi le faire chaque jour chaque lever rejoindre ainsi l'embouchure de la nuit s'encliper à la langue qui essuie mes lèvres goûter le chocolat du rêve l'amour...
Lire la suite21 mai. date essentielle. il n'y a rien à fêter, ni quelque famille, mariage et extravagances mortelles. jour qui ressemble à un solstice mâtiné de superflu et d'inefficace. un 21 sans étoiles, un 21 dépouillé comme on peut supporter de les voir se lever...
Lire la suitebien souvent écrire se résume à essorer des pierres. je distille à l'eau de cailloux des alcools qui m'enivrent raide morte et me laissent comme une toupie avant la chute. alambics clandestins à tous les débours, j'active le brasier, choc d'étincelles....
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