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le blog d'annaj

poematique expiraTOIre

question humour

je ne suis la femme de personne. sûr que je ne voudrais pas être comme un pouls dans la main de quelqu'un, pas être un azur , un nuage , un soir jaune avant la grêle et ce voile qui danse. ...j'ai bien compris cela... que je serais de ces coeurs de démonstrations...

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stérile

stérile

value="http://www.youtube.com/v/UOQ40DqGZ5A?fs=1&hl=fr_FR&rel=0"> quelque chose chante-t-il nos correspondances ce monde est si cloisons je désespère toucher le poreux des terres je désespère des entrelacs de l'eau aucun chemin ne perce le voyage aucun...

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musique

je suis de cette tristesse hautaine qui flageole dans les arbres marcher sur le ciel est ma raison mission d'enfance peut-être, la seule que je devine j'ai déjà dû croiser l'instant vrai de ma vie sans voir sans pouvoir le reste tient à un fil dignité...

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musique

la porte s'ouvre qui donc étend la ruelle? un peu d'eau les pas lentement lentement chavirent l'ombre file à jours perdus la terre fuit par les fenêtres poème tu meurs dans les volets des doigts dentelle des haleines tissées qui trace sur le sol l'écharpe...

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mahler

mahler

mahler mort un 18 mai âgé de cinquante ans...

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le cadavre exquis de Breton

s'il est une poésie dont il est de bon ton de se distancier c'est bien la poésie surréaliste. se construire en dehors de ce courant a été la tâche ardue de toute une époque où débarrassant la langue d'une portée "au-delà-surréelle" on n'a gardé que le...

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mono-loque

le silence est un thème essentiel de mon poème.il s'inscrit comme un motif végétal dans ma chair et mon sexe. -par mon histoire personnelle qui n'a d'autre importance que d'être la seule que j'ai, bien entendu- mais écrire va bien au-delà de l'expression...

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ostracisme

morsures à la langue. je fiche mes crocs dans tes muqueuses. comme je t'en veux de n'être pas de tes choix, comme je t'en veux jusqu'au bout des impatiences de ce que je ne serai jamais. morsures à la langue, une simple goutte suffit pour mettre du rouge...

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le mien

le mien

quand il n'y a plus moyen de dire reste le cri de son corps aussi long serait-il aussi fort et triste puisque aucun mot ne frappe au sens au coeur ni ne déchire les membranes montent plus puissantes du profond des barrages l'eau de vie, l'onde respirante...

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rhume

Le goût sucré des pollens comme un essaim à pleine bouche pacotille des fleurs jetée au fil de l’air que l’on tète en sirop chaque soleil qui passe ma soif est assise aux chaises des terrasses avec un nez dedans et le calice des jours ce rien d’un trop...

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