poematique expiraTOIre
dimanche. il avait une gueule de lundi une gueule de samedi aussi. très lent très long sans le moindre ruisseau , sans le moindre clocher pour faire un doigt d'honneur au ciel. il a fait beau dès midi, les Suisses ont voté. la vie est comme une éternité...
Lire la suiteen attendant dit-on, et je suis patiente figure dans un décor d'opéra chacun y va de son solo et le cœur attend qu'il existe ailleurs un autre où un ailleurs n'est même pas prévu je suis comme les enfants qui cachent leur visage dans un coussin et le...
Lire la suiteles pythies se lèvent avec les étoiles ou les néons. elles clignent en rase campagne ou rues basses, scintillement des fonctions i-rrevérencieuses. le futur ressemble à un coquelicot dans une boutonnière de paroles. fragile suspension. ne laisse pas retomber...
Lire la suitej'ma noyée dans une seringue, bingo dans le bide.noyée jusqu'aux aisselles pas plus... je m'a trompée de moitié, a mis sous l'eau celle du bas. ça fout les poils en boule et les pieds en méduse, pendant que le reste prend l'air et s'en donne à corps joie....
Lire la suitevitrail de l'oiseau à bouches et son ciel pourquoi ce ne serait pas de l'amour pur...
Lire la suiteje manque de la merveille, du don des paysages, de la chaleur cerise même de sentir la flotte de la merveille des espaces, de la forêt sous la Terre, ce genre de choses que l'oeil vous met sous le nez, pour respirer large et loin et fort... je manque...
Lire la suiteAutant j'ai écrit pensant faire grandir et assurer mon style, l'ai vu d'ailleurs devenir meilleur..autant j'en suis maintenant à tout vouloir baster considérant ce long travail en continu et application comme sans ancrage et justification. je crois que...
Lire la suiteA tout bien peser, en effet y a-t-il plus ridicule que cette recherche de liens, de famille, d’appartenance ? Certains prétendent à des filiations simples, d’autres se contentent du sublime. Alors quoi, ne sont-ils pas fous ! Mais je songe que c’est bien...
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